L’entrainement et la course doivent être vu comme une progression en équilibre entre l’activité et le repos. Si l’équilibre est maintenu alors on pourra progresser, si non, c’est une descente vers les désillusions.
Comment faire alors ?
Tout d’abord, Rome ne s’est pas construite en un jour!
Il faut structurer votre entrainement pour permettre à votre corps d’absorber la progression. La régle des 10% de progression sur le km ou le temps par semaine est communément adoptée. Dans cette limite de 10%, votre corps est capable d’absorber la nouvelle charge en récupérant comme la semaine précédente.
Pour tenir, il convient d’alterner les séances de qualité et de footing. Le footing lent permet de ne pas s’épuiser mais d’engranger du kilométrage.
Progressivement, tout au long de votre cycle, vous pourrez monter le kilométrage total et cumuler des séances de qualité qui vous feront progresser.
Comment récupérer ?
La récupération passe par un bon repos. Il n’y a pas de recette miracle ou de produit salvateur! Mais attention, la vitesse de récupération est différente suivant les individus et l’âge. N’essayez pas de vous calquer sur votre youtubeur préféré. Il doit avoir 10 ans d’avance sur vous en terme de routine et d’entrainement et possiblement 10 ans de moins en âge!!
Pour ma part, à 50 ans, j’essaie d’éviter le stress (boulot…), j’adopte des habitudes / des routines (ça aide beaucoup à limiter les surprises)… La récupération est aussi importante que l’entrainement.
Un autre aspect permettant d’améliorer la récupération est l’alimentation. Évitez de trop manger notamment en soirée. Cela peut aider à une meilleur nuit.
N’hésitez pas à consulter un expert si nécessaire. Le but est de trouver la recette qui fonctionne pour vous.
Y a plus qu’à!